VII - De l'autre côté du miroir lyrics

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VII - De l'autre côté du miroir lyrics

[Couplet 1 : Euphonik] Quelques rétrospectives où les souvenirs demeurent On s'efforce de vivre et les sourires se meurent Hein pourquoi prendre son temps si il reste impalpable Saisir l'instant présent moi j'en suis incapable Et pourquoi s'enta**ent-ils tous dans des boîtes de nuits? Un cercueil fantastique pour l'amour d'aujourd'hui Quatorze ans en peine, déjà le corps souillé Entre l'amour et le s**e, ma jeunesse est brouillée Cendrillon marche pieds nus, ouais sans ses deux souliers C'est au coin de la rue qu'elle finit désaoulée Faire pa**er la pilule à ma jeunesse malade Elle vomit à quatre pattes et crie : "ne m'laisse pas là" Induit dans l'erreur j'ai finis par m'y perdre Que des langues de vipères m'ont parlées plus de bonheur On est bien dans l'horreur quitte à agoniser On s'couche à l'aurore le corps alcoolisé Les poupées en vitrine mais pour qui se prennent-elles? Coupable ou victime d'ignorer nos je t'aime Moi je t'ai dans la peau pendant qu'ces connards te sifflent Toi tu m'as dans la paume pour me donner une gifle J'ai rêvé d'une vie stable mais l'avenir était bancale Un penchant pour le sable, une chaleur tropicale Bien trop calme ces temps-ci à l'abri des tempêtes Mon humeur se tempère mais je reste pensif Qu'importe le point de vue ouais dans un angle mort La raison du plus fort on en abuse à tort Si j'me livre un peu trop bah j'arracherais des pages Un naufrage un peu drôle en pleine marée ba**e Quelques rétrospectives où ces souvenirs demeurent On s'efforce de vivre et les sourires se meurent Quelques rétrospectives où les souvenirs demeurent On s'efforce de vivre et les sourires se meurent [Couplet 2 : VII] Sur le cœur je déballe me décale insensible Cicatrise comme une cible la gueule criblée de balle Je m'acharne frénétique mais ne rêve pas de Rolls Le rouge du roi Eric de Roykin et Bozkov Fidèle à mon équipe, mon époque, le naufrage Effrayé comme un otage un septembre à Munich Les mauvaises herbes mûrissent et les humains se mutilent On dégaine un fusil sous des prétextes futiles Fatidique est la date écrasante et la dette Ne leur tends pas la patte ils t'éclateront la tête Vivre dans un jerrican, ne souhaite que le calme Pas l'attirail à Tony le bureau plein de cam Le décalage est de taille, le rappeur venu d'ailleurs Étranger où que j'aille étranglé par la peur Je viens relever la tête discret mais combatif Tirer mon dernier trait sur un trajet négatif [Couplet 3 : Euphonik] Tournons quelques pages encore avant la fin du livre Dites leur je n'suis pas mort j'ai juste arrêté d'vivre Les mains immaculés de sang de cendre et de son Et j'ai teint les lumières pour être aussi seul et sombre Tiraillé en manque de veine avec un cœur écartelé Si tu veux lire la peine, nos yeux regarde-les Le bonheur à les yeux fermés il nous attend peut-être La mort viendra me cueillir dans le jardin d'Eden C'est d'voir les uns dans ma tête, j'entends ces foutus rires Le jour où j'arrête le rap j'invite la mort en featuring Autant le temps nous baise solitaire dans la solitude On s'habitue comme une boucle et une caisse claire Dans le bien comme dans le mal la souffrance et la même Et quand le bien va mal tant bien qu'mal il se relève Le bonheur à les yeux fermés il nous attend peut-être La mort viendra me cueillir dans le jardin d'Eden

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