VII - Bruce lyrics

Published

0 241 0

VII - Bruce lyrics

[Couplet 1 : XXX] C'est pour mes potes partis trop tôt Tant d'choses à dire, j'trouve pas les mots Mais toujours pas d'sérum pour les six coups du cyclone Le destin est inexplicable et ça change à chaque période Beaucoup trop d'intolérable aux personnages que j'trouve si noble Où la mort est implacable, autour de moi des choses ignobles Rien d'plus appréciable, j'en perds mon expression face à sa disparition D'une excitation primaire à un sort secondaire qui nous laisse démunis Même si on est en colère sur les notes d'une mélodie Parfois, même dans la misère, tu t'envoles pour l'paradis Moi j'en garde un goût amer, j'n'oublierai pas ton sourire Ainsi qu'nos moments pa**és, j'me rappelle de ces souvenirs Impossible de m'en la**er, si seulement j'pouvais t'le dire Mais tu restes dans mes pensées, jamais j'pourrai t'oublier [Refrain x2] Une histoire irrationnelle : celle d'un être exceptionnel Qui nous laisse dans un état émotionnel et solennel Quand le sort se scelle, plus rien n'est proportionnel Les remords ensorcellent mais ces mots sont intentionnels [Couplet 2 : XXX] De l'amertume dans les pensées, compenser les récompenses Que l'homme pensait se retourner, personne tendre et aimée Dire adieu, au revoir aux saveurs du printemps Un cœur est parti pour laisser place XXX par l'paradis Au revoir le linceul XXX du rituel, ensorceler c'est le tandem En l'absence de celui, juger d'une péripétie, permis sans permission de permettre Le soulèvement d'une vie, l'enlèvement d'un être Sans présence d'une dame blanche avant d'taper cette pierre blanche Assis au premier rang sans en connaitre le sens De cette marche à sens unique mais dans la marche de ces prouesses Dépa**e les marches de l'éternel mais maintenant Ces peines et ces tristesses se vétiront de blanc Dans ce fameux jardin d'Eden mais les souvenirs nous rongent Et de voir une vie rongée par une conduite inconsciente Nous rend peut-être conscient d'une vie sans excellence [Refrain] Une histoire irrationnelle : celle d'un être exceptionnel Qui nous laisse dans un état émotionnel et solennel Quand le sort se scelle, plus rien n'est proportionnel Les remords ensorcellent mais ces mots sont intentionnels [Couplet 3 : Fayçal] A l'orée de ce printemps, le sort est d'humeur macabre Tu demeures sous du marbre sans avoir eu vingt ans Savoir d'où vient le vent n'a rien d'essentiel Haut soleil levant, ta vue balaye le ciel Tes intimes sont des cents devant ta mort Non sans remords ils t'estiment, ils te remémorent Ils t'installent des "je t'aime", ils s'étalent sur tes gestes Car tes chrysanthèmes ont des pétales indigestes Ton décès est injuste, sincèrement Mais j'ai redressé le buste en te dressant des serments T'adressant ces louanges de rage et de sympathie En marge des anges, au large je compatis Morose et circonspect, ces mots d'un soir sont des roses Arrosés d'espoir pour que tu reposes en paix Loin des immondes parfums et des ignobles faits Parmi ces nobles défunts tués dans ce monde imparfait [Refrain] Une histoire irrationnelle : celle d'un être exceptionnel Qui nous laisse dans un état émotionnel et solennel Quand le sort se scelle, plus rien n'est proportionnel Les remords ensorcellent mais ces mots sont intentionnels

You need to sign in for commenting.
No comments yet.