Terence Winter - Le Loup de Wall Street : « Je m'appelle Jordan Belfort » lyrics

Published

0 143 0

Terence Winter - Le Loup de Wall Street : « Je m'appelle Jordan Belfort » lyrics

Une vidéo publicitaire. Le monde des placements peut être une vraie jungle. Des taureaux fonceurs, des ours lents. Le danger vous guette. C'est pourquoi, chez Stratton Oakmont, nous sommes fiers d'être les meilleurs. Laissez nos professionnels qualifiés vous guider dans le monde sauvage de la finance. Stratton Oakmont. Stabilité. Intégrité. Fierté. Une ma**e de personnes sont réunies en vacarme dans un bâtiment. Employés : Un ! Deux ! Trois ! Un nain atterrit sur une cible, tandis qu'un second s'y prépare. Jordan Belfor t : 25 000$ au premier crétin à viser dans le mille ! Allez ! C'est parti ! Employés : Un ! Deux ! Trois ! Jordan Belfort : Je m'appelle Jordan Belfort. Non, pas lui. Moi. Voilà. Je suis un ancien membre de la cla**e moyenne élevé par deux comptables dans un minuscule appartement de Bayside, à Queens. L'année de mes 26 ans, à la tête de ma propre firme de courtage, j'ai gagné 49 millions de dollars. Ça m'a vraiment fait chier, car avec trois de plus j'en aurais gagné un par semaine. Une voiture de course roule sur une autoroute en doublant les autres véhicules. Jordan Belfort : Non, non, non. Ma Ferrari était blanche, comme celle de Don Johnson dans Miami Vice. Pas rouge. Jordan Belfort : Vous voyez cette énorme propriété ? C'est ma maison. Dans une chambre apparaît une femme en lingerie prenant plusieurs poses face à la caméra. Jordan Belfort : Mon épouse, Naomi, duchesse de Bay Ridge, à Brooklyn, ex-mannequin et amba**adrice de Miller Lite. Oui, c'est elle qui me faisait une pipe dans la Ferrari, alors remontez votre braguette. Des vidéos d'archives montrent successivement des coupes de champagne, un yacht, deux skieurs nautiques, un hélicoptère se posant sur un bateau, et un personnel de cuisine en action. Jordan Belfort : En plus de Naomi et de mes deux enfants parfaits, je possède un manoir, un jet, six voitures, trois chevaux, deux résidences secondaires et un yacht de 52 mètres. Dans une chambre, il souffle de la c**aïne dans l'an*s d'une femme. Jordan Belfort : Et puis, je joue comme un dégénéré, je bois comme un trou, je baise des putes cinq ou six fois par semaine. Trois organismes fédéraux cherchent à m'incriminer. Oh ! Et j'adore la drogue. Il s'arrête et regarde subitement de tous les côtés. Jordan Belfort : Okay, on remet ça. Il lui met une fessée. Prostituée : Ouais, ça te plaît ? Un hélicoptère approche du manoir de Belfort. Ce dernier est aux commandes, ivre et presque a**oupi. Pilote : Remonte. Remonte ! On va s'écraser, bon sang. Jordan Belfort : Relaxe ! Il redresse l'appareil de justesse, le remonte, et le pose au sol brusquement. Jordan Belfort : Est-ce que ça va ? Pilote : Oui, ça va. Bien joué. Sois prudent en rentrant, d'accord ? Jordan Belfort : À la prochaine, mon vieux. Pilote : À la prochaine. Un matin, en descendant les escaliers de sa maison, une coupe de jus d'orange à la main. Jordan Belfort : Oui, la quantité de drogue que je consomme chaque jour pourrait mettre K.O. Manhattan, Long Island et Queens pendant un mois. Il sort de chez lui. Jordan Belfort : Je prends des Quaaludes de dix à quinze fois par jour pour mes « maux de dos », de l'Adderall pour rester concentré... Il jette sa coupe de jus d'orange vers un buisson près de la porte d'entrée. Jordan Belfort : ...du Xanax pour adoucir l'effet, du pot pour me relaxer, de la c**aïne pour me réveiller, et de la morphine, eh bien... Parce que c'est super. Bonjour, Nathan. Il s'introduit dans une limousine qui l'attendait devant. Belfort entre dans un bâtiment. Jordan Belfort : Mais de toutes les drogues d'ici-bas, il y en a une que je préfère plus que tout. Dans le bureau de Jordan Belfort. Jordan Belfort : Vous voyez, une dose suffisante de ce truc vous rend invincible. Capable de conquérir le monde et d'éventrer vos ennemis. Il sniffe un rail de c**aïne en se servant d'un billet. Jordan Belfort : Et je ne parle pas de ceci. Je parle de cela. Belfort met en évidence le billet de 100$, avant de le jeter dans une corbeille déjà pleine d'autres billets. En entrant majestueusement dans la salle principale de son entreprise, où plus d'une centaine d'employés l'acclament. Jordan Belfort : L'argent permet d'acheter : meilleure vie, meilleure bouffe, meilleures voitures, meilleures chattes, et fait aussi de nous de meilleures personnes. On peut donner généreusement à l'église ou au parti politique de son choix. On peut sauver ces foutues chouettes tachetées, aussi. J'avais toujours voulu être riche. Alors, revenons en arrière.

You need to sign in for commenting.
No comments yet.