Aujourd'hui je fais le point, il est deux heures du matin J't'écris des mots d'amour, vidés de leurs sens Avec si peu de conviction que j'en perds mon latin Tellement fatigué de toi que j'en ai même plus conscience Il est temps je crois, partons bons amis Notre histoire se termine, comme elle avait commencé C'était tard le soir et par un temps de pluie Sans émotions de ta part et ça n'a pas changé depuis J'y ai beaucoup trop pensé, tu m'as donné une image de toi Dont tu n'arrivais pas à la cheville en fait J'y ai cru quelque fois, jusqu'à réaliser qu'pour toi Le chemin qu'on a fait ensemble n'était qu'un chemin de croix Et t'étais trop lisse pour être claire, tu vois mon ange Que le maquillage ne change pas les traits du caractère… L'apparence, les vices, et leurs contraires… Maintenant Pense à ouvrir ton esprit avant d'le faire avec tes cuisses Puisque t'étais ouverte, j'me suis servi, ce corps Qui est le tien ne s'a**imile qu'à une station-service On se sert et on repart, pas d'quoi s'éterniser J'ai juste été a**ez déçu pour en chanson te mépriser Il m'fallait du sans plomb, j'parle de ton cerveau Genre vaut mieux une bombe totalement conne qu'un veau intelligent C'est bien pour les bourses, pour l'argent un peu moins bon Mais à coté d'une idiote, j'me sentais un peu moins con Et remercie-moi, j'te permets d'jouer la victime… Et vu les mots que j'te destine, c'est tout à fait légitime Avec tes airs de sainte, tu plairas à ces messieurs Qui t'regarderont dans les yeux, juste parce que tu n'as pas d'seins Et singe-moi si tu veux, toute ta vie t'as eu l'air bête C'est pas 5 minutes en plus qui vont t'refiler de l'herpès Là, mes mots sont abrégés, pour la seule espèce au monde Avec une aussi grosse tête et l'encéphale allégé Ma raison m'a dit, mecton, en fait c'est toi l'idiot Car pour aimer ce genre de go, faut vraiment vraiment être con Alors j'me dis que j'n'aimais que, c'que tu faisais dans mon crâne Tu m'remontais le moral et vu qu'je pense avec ma… Que de remontrances, en fait c'est moi l'perdu Toi ton cerveau est dilaté, vu qu'tu penses uniquement avec ton… Customisé jusqu'au vagin, tout le chemin qui y mène Laisse à penser qu't'as vraiment pas que l'hymen percé Et persévère, à jouer la sainte-nitouche On sait qu'tu t'couches la veille du premier rendez-vous Et qu'souvent saoule t'es limitée à laisser tout l'monde visiter Tous les recoins de ton appartement et d'ton intimité Et j'aurais pas d'prénom dans tes histoires de mecs J'serais qu'un autre connard sur lequel t'es tombée, disons… Que tes copines m'insulteront parce qu'elles sont bêtes Et qu'elles prennent aussi les gars comme moi pour des pigeons Ça sert à rien d'dire que toutes les histoires tombent à l'eau, nan Tu baiserais pas des salauds si tu respectais les gars bien Parce qu'à la base, j'vais t'dire une chose, les gars croient à l'eau de rose Jusqu'à tomber sur une salope mégalo Dans l'genre qui a moins dans la tête que dans les seufs Et tu vois, j'suis pas l'premier rappeur qui insulte une meuf Comme quoi… T'as pas tourné qu'chez moi… Dans leurs sons, ils n'insultaient pas la femme en général Ouais, ils parlaient que de toi… J'sais qu'y'a trop d'gars sur terre, mais qu't'as vraiment pas chômé Et vu qu't'as arrêté d'compter, bah tu t'es au moins fait le tiers Parmi tous ces ca**oces, y avait moi… Et y en a plein Qui t'auraient traitée de putain… Alors que tu fais ça gratos Parle pas de condescendance, j'ai jamais fais le fier Ce son n'est destiné qu'à toi, pas besoin d'monter une a**oc' Parait qu'derrière une chienne, y a une femme qui a souffert… À d'autres s'te plait, moi j'sais qu't'es pourrie jusqu'à l'os Alors, je prends la porte, mais me traite pas de macho T'es une machine à mensonge, et tes copines en émoi Devant la façon dont tu t'comportes laissent à songer qu'bon… T'es beaucoup plus misogyne que moi… À nous deux je mets un terme, ouais c'est toi qui m'a quitté Mais j'm'en fous, mon égo tu l'as souillé… J'me suis acquitté d'la tache… J'parle de toi Vu qu'pour moi t'es plus qu'une trace de s**me sur un drap mouillé