[Couplet 1] Effectivement je prie bien plus quand ça m'arrange Et j'rappe je taffe pas J'me plains de me prendre des tas d'amendes Le calme annonçait la tempête c'était le prémisse de l'avalanche Je m'a**ois au bord du vide la sueur au front les bras ballants Y'en a qu'ont glissé en cavalant, d'autres ont sucés en avalant Mes gars sont discrets, disent vrais et parlent rarement Si je fais le bilan de nos actes, à part les flammes de l'enfer Tu crois qu'il y a quoi qui nous attend ? Faut que je continue mais je veux plus supporter vos merdes sans m'taire Me dis pas de la fermer t'as mit de la bière dans le verre Laisse-moi être ivre en vrai Le déroulement des choses me pousse à vivre à vie dans le stress Alors la zik m'enferme Dans un cercle vicieux qui arrive à foutre toute ma mif en peine Ainsi soit-il je t'emmerde Je m'efforce à croire que je serai loin d'ici dans 10ans peut-être Trace ta route et te retourne pas Suffit de 2 secondes pour que des coups partent J'ai vu des gens ber-tom pourtant c'était pas les coupables Un goût amer sur mes lèvres m'alerte Mais faut pas que je m'arrête Laisse-moi tirer sur cette bouffée de verte [Refrain x2] En vrai y'a pas grand chose que j'aime J'crois qu'les spliffs effacent les problèmes quand ça sent la défaite Mais je me goure totalement J'ai que ma **** et le logo de mon gang sur ma cape noire [Couplet 2] Nos rapports à l'amour particulier Fait qu'on se retrouve trop souvent seul Et sous l'emprise de substance Dis pas que la pluie tombe mais que le beau temps pleure Chérie ma zik compte donc qu'on s'entende attends-moi pour éviter les trous dans le cœur Squatter le bâtiment en attendant que ça pa**e Mauvaise idée je comprends pas pourtant je serais pas mieux à la FAC Y'a le monde qui tourne au centre sa roue qui fait du sur-place Ça rend paro comment tu veux fumer quand il te reste qu'une taffe J'ai attendu un demi-couplet pour dire que je t'emmerde J'suis sans tiep et je me demande si c'est mieux d'aimer sans le faire Inadmissible comme l'innocent qui prend 10ans fermes Le beau temps qui pleurait s'est transformé en tempête L'avenir appartient à ceux qui sortent quand tu te couches Je vis en décalé et mes potes c'est pareil Les attardés soignés au népalais Ceux qu'enlève leur veste quand tu te couvres Froissent le mic quand tu te touches Et pour le moment on se dit que ça le fait [Refrain x2]