Ils vivent au bord d'la banlieue un petit coin silencieux On y va qu'un dimanche sur deux Obligés un peu Des fleurs parfois ca peut, ensoleiller les lieux Et pour le père, un p'tit condrieu est ce qu'y seront heureux? Le regard toujours malicieux le geste gracieux Grande ame, gentil monsieur vivent à petit feu Et si l'amour c'est de l'hebreu o surement pas pour eux entre frangins, franginnes c est affectueux on les appelle "nos vieux" La mère à les cheveux entre le gris, le bleu Le ciel du Nord nous dit quand il pleut au fond de ses yeux C'est un vrai cordon bleu ses pates ses omelettes aux oeufs je les mangerai comme un bien-heureux sur la tete d'un pouyeux Le regard parfois ombrageux inquiet, soucieux Le petit bonhomme nous emeut par son esprit fascesieux Au moment pourtant des adieux le coeur est douloureux Plein d'amour pour ces gens si precieux qu'on appelle nos vieux Il m'arrive meme quand je suis loin d'eux de prier le bon dieu ce grand mystere planqué dans les cieux des gens malheureux pour qu'y offre à ses amoureux l'eternité ou mieux et qui benit sur ces etres merveilleux qu on appelle nos vieux (Merci à Aurelybad pour cettes paroles)