[Couplet 1 : Fuzati] Bienvenue dans la violence, comme un hymen dans une partouze Petite, tu sais, on t'a menti, les salopards sont plus que douze J'aime pas les gens qui sourient, ça sert à rien, sauf si tu viens De prendre le pactole au loto, sinon que dalle, nada, zéro Quarante degrés à l'ombre, j'ai disparu #VincentPerrot J'ai longtemps cru qu'une fille toute nue était forcément encryptée Jamais eu l'bon décodeur, dans cette époque je suis paumé Il me ba**ine avec une musique à gerber c'est cohérent Apparemment ça pa**e tout seul, comme de manger des excréments Mais est-ce meilleur quand c'est crémeux ? (Oui, paraît-il, extrêmement) J'suis pas dans le coup, pas très jugulaire, pété à la Jupiler Pour moi tous se ressemblent autant que demain et hier Après le show pas de bain de foule : je déteste qu'on me touche Crache de la haine, et des gros glaires, ouvre bien tes oreilles et ta bouche Musique d'ascenseur et rimes, remontage de niveau S'en battent les couilles de la musique, les gens veulent juste des trucs nouveaux Toi me faire sortir de chez moi, et moi avoir bien plus d'argent Dans la vie rien n'est gratuit, sauf la violence, évidemment ! [Couplet 2 : Fuzati] Ramène-moi un pack de bière ! C'est pour le deuxième couplet J'te calcule pas, comme dans la rue, j'entends : "Monsieur, s'il vous plaît" Pas le temps de compter les billets, ils sont partis dans le loyer La bouffe, les enfants pas à table, parce que vous n'existez pas La pouf est partie tapiner, j'allume une clope tranquille Élabore des plans périlleux, c'est pour me tirer de cette ville Cherche une issue, comme une fourmi nageant dans un verre de Vodka J'en suis à la moitié de ma vie dans le meilleur des cas Tu voulais un truc gratuit ? Et bah t'auras que d'la violence Du sang, des larmes et peu d'excuses, comme si j'étais l'histoire de France Service-volée je plie ce jeu, 6-0 aux trois sets Mon chat est capitaliste il veut toujours plus de croquettes Tu verras, j'serais plus sympa quand j'aurais reçu mon virement Dans la vie rien n'est gratuit, sauf la violence, évidemment !