Omry - Écoute lyrics

[1er couplet : Omry] Ce soir c'est freestyle, j'te brise comme du cristal J'frappe sans m'prendre la tête comme Igor et Grichka Toujours anti-shtar, j'veux la vie d'riche, la villa aux îles Maurice, là j'abuse trop j'ai plus d'rizla Traumatise, Vin7, Nero, K.A.Y.Z.O, malgré la zeb sin-cou, on fini premier par ex-æquo On s'exécute pour l'ghetto, même si j'sais qu'c'est corse, Smith & Wesson la vie c'est chaud, surtout quand les schmitt te coffrent J'ai mille méthodes, on monte, on montre qu'le FISC nous gâte, les flics nous gazent, mais rien à foutre car dans la vie j'm'égare Une vie inégale nous pousse à traiter la France de garce?, justifier ou pas, j'constate juste que l'ton monte d'un grade Ce monde est grave, parle de nous comme l'ennemi d'État, ? , taux d'marée noire qu'on nettoie pas comme l'Erika J'suis irritable et j'galère quand eux ricanent, nous on racaille ou sûrement pas si on avait pas à s'battre comme Hurricane J'viens tout niquer, fait tourner les têtes comme le tourniquet Comme la Tour Eiffel j'suis incontournable pour les touristes J'ai vu la scène de crime, ? 18ème, tu cries c'est moi-même qui prie pendant qu'ma ville souffle et ? Vengeance extrême, instincts d'gangster, sur quoi les gens s'tiennent pour affirmer qu'j'suis comme le cancer, on s'meurt et c'est la jungle comme ? tu connais, ? ça t'rend dingue quand l'lascar vise le sommet [2ème couplet : Kayzo] Là on est dans les bacs, bientôt ça s'trouve j's'rais au 36 en train d'me prendre des claques pour dénoncer mes complices Dans l'vice on tombe trop tôt, certains potos me poussent à vendre des disques, d'autres à vendre du bédo Ne pas tomber dans l' ? j'avoue ça c'est chaud, surtout quand faut survivre sans la paie d'Ronaldinho On monte une p'tite équipe, à force de s' ? un jour y a le déclic, ça s'met à embrayer Regarde ? 18 mois dans sa face, ça parle d'arrêter, ? Regarde les p'tits d'la tess, ils sont fans des lia**es, rien à foutre des balafres, préfèrent rouler en grosses caisses, mais comme y a pas d'taf, obligé d'sortir le FAMAS, le temps pa**e vite alors on s'unit comme le Hamas Y a moins de morts naturelles, plus de morts criminelles, moins de meufs fidèles, plus de ta** à l'hôtel après un bon p'tit co*ktail ? En plus y a trop d'traîtres, des mecs qui disent être des potos, veulent qu'tu prennes ta retraite, dès qu'ils le peuvent te poignardent dans l'dos, j'rap pour tous les mecs ghetto, ceux que la vie endurcit, tous ceux qui s'lèvent très tôt pour aller au ca**e-pipe, qui écoutent pas Rire et Chansons, à s'taper des délires, ? un direct t'es d'jà en train d'jouir [3ème couplet : Vin7] Si j'lâche des rimes impec' c'est pour avoir un impact, alors écoute la vie d'un mec qui garde son éthique intacte Si mes paroles manquent de tact, c'est que j'rap pas pour le spectacle, comme si j'avais conclu un pacte ? si j'le respecte ap Ok il faut qu'tu captes, ça mélange rap et ?, ça rédige de vieux articles, ça s'dit artiste, moi j'dis ? Toujours sarcastique, j'resterais froid comme l'Antarctique, pour m'étouffer y a pas d'tactiques, il t'faudra plus qu'un sac plastique M'appelle plus Vin7, appelle moi plutôt ?, quand on m'implique et si j'm'applique, alors plus aucune ? rapplique Aucun répit pour les répliques, j'suis trop rapide pour tous ces ploucs, j'lai dit comme on cha**e les reptiles, c'est moins ? que pour ton look Ici c'est l'18ème, tu sais déjà où on s'planque, inutile que j'réexplique on en a d'jà fait un titre ? de nos hits, même si on a d'jà l'arthrite, on est bien loin d'la retraite, mais jamais en retrait C'est notre avenir qu'on retrace, alors mes mots j'les retrousse, face à la vie et toutes ces cra**es, aujourd'hui j'ai plus la frousse J'veux pas qu'le succès m'embra**e, j'préfère rester seul dans ma brousse, j'me contente de nager la bra**e quand les autres se lancent dans la course J'fais les choses à ma sauce et c'est vrai qu'j'm'en fou si ça t'saoule, t'as un problème avec mes soces, on prendra l'problème à sa source Un couplet a**a**in pour t'montrer qu'j'en ai d'la ressource, parc'que la vie est bien trop courte, parc'qu'y a bien trop d'choses qui m'dégoûtent