[Nikkfurie] Usine, smic, rmi, stick. Drapeau, tango avec le diable HLM : 18 étages ; H&M : 18 péta**es Arts et métiers rares et physique, pâles et livides que suit l'bétail Le prolétaire veut d'venir aisé comme le riche Garnir son gosier d'oseil, réserver la ville Résorber la bile qu'il sécréta dans la salle d'attente 45 ans durant, ‘mais l'docteur ferme à 44' Un cancer promis à naître dans son poumon droit Un ulcère récent promis à paître Tout le long du colon. (Dréon) molo et finir par l'achever sous son toit C'est son choix, c'est l'mien aussi, ment pas, c'est l'tien aussi Mais ton mètre 60 social fait qu'tu rêves de la taille de Yao Ming Nous sommes tous vénal, beaux gosses sans belle âme Sinon belles dames en vitrine, qu'est-ce qui nous mène à Amsterdam ? Pardonnez-moi. Une perte d'honneur en couple égal une perte d'amour en péril Pour qu'un nouvel amour se forme D'une autre sorte de paire de love, évidemment en dérive Une de perdue, 10 de retrouvées Un testament sur la verdure pour un suicide de bourré Je vois tes lèvres dire : « puisses-t-il se gourer » Bâtards, je vous méprise et sert ma mystique en purée [Refrain: Mai Lan] Rumeur, un long silence écouté. Erreur, les jours sont écoulés Dehors, tout ces corps, presque morts, et oubliés Horreur, la porte s'est refermée. Eh l'aîné, y a plus personne à bercer Ils se lèvent, ils se crèvent. La vie que mènent les hommes égarés [Hi-Tekk] Je prends de l'air en colmatant toutes mes plaies, c'est trop navrant Trop triste, mais je m'en tape, comme les autres s'en foutent. On le sait tous : On est seul dans merde et c'est personnel, comme les chiottes et l'hygiène Phénomène douteux comme certaines conna**es et du vin mousseux On ne choisit pas les moments où l'on prend tout dans la gueule Mais j'encaisse très bien, dans la mauvaise ambiance Mais c'est cool, écoute quand je parle Une pute meurt quand une princesse naît dans mon cœur Pourtant je n'éprouve que haine, mépris, peine, tristesse Les nerfs à fleur de peau Et les gens qui se plaignent, s'élevant vers la défonce les pieds devants Tristesse de synthèse et quand je pense tirer donc un trait… [Refrain] Rumeur, un long silence écouté. Erreur, les jours sont écoulés Dehors, tout ces corps, presque morts, et oubliés Horreur, la porte s'est refermée. Eh l'aîné, y a plus personne à bercer Ils se lèvent, ils se crèvent. La vie que mènent les hommes égarés [Hi-Tekk] Je suis le prothésiste des sentiments comestibles Et j'ai vu mon futur dans l'rétroviseur Les vomissures comme des points de suture sans equalizer En égalisant les guérisons j'ai vu ton cœur qui pleure Je m'apprête à investir dans le néant de la nuit, de ces océans de néons C'est la buée sur les vitres Et c'est le soir que la mélancolie se mélange à l'alcool et l'oubli Mais je m'aime, quand même c'est l'essentiel Tout ça le temps d'une cigarette incandescente C'est à l'ancienne que je déchante quand la trahison me plante Quand les gens se révèlent être des simulacres de plâtre Qui te vampirisent en attendant la correspondance pour le prochain train Je ne suis qu'une putain de personne fusible…