Lucio Bukowski - Kejserens nye Klæder lyrics

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Lucio Bukowski - Kejserens nye Klæder lyrics

[Intro : Sample] "Il était une fois, dans un pays loin d'ici, un empereur qui était si coquet qu'il changeait d'habit à chaque instant. [...] Et il parcourait les rues de la ville pour se faire admirer. [...] « Vais-je mettre ce joli pourpoint ou bien ce manteau de soie ? » Un jour, deux coquins se présentèrent aux portes du palais. [...] Les rusés pensaient pouvoir en profiter, remplir agréablement leurs bourses vides depuis beaucoup trop longtemps. [...] Les deux compères annoncèrent enfin que le tissage était fini." [Couplet 1] J'vis entouré d'amour et d'auteurs morts Eux, de billets de banque et d'autres de remords D'hauteur morne sont leur ambitions de gloire Faute de score, ont la permission de boire Comprennent-ils seulement que leurs horizons Ne sont que la foutue source de leur coryza ? L'œil : victime et bourreau de leurs illusions Lacrymal rêve que l'ère du temps vaporisa Éternel comme le mauvais goût Douloureux comme le mauvais trou Malvenu comme le mauvais jour Récurrent comme le mauvais doute Le temps les castagne, leur vie s'échappe Pris dans un ring, on n'esquiva pas les jabs Ses coups, ses placements, des phases, des cla**ements Éclatent des tympans, écrasent tes battements Dégage dès maintenant ; l'État, c'est le collier d'force L'autonomie, c'est la bombe sans les collègues corses Acquérir des défenses sans dégommer d'morse Pendant qu'des enculés sans âme se font décorer l'torse Mont en effondrement : un jingle fade Tapis persans et single malt Sont de meilleurs refuges qu'un putain d'club Sont de meilleurs refuges qu'un putain d'club Sont de meilleurs refuges qu'un putain d'club Sont de meilleurs refuges qu'un putain d'club Sont de meilleurs refuges qu'un putain d'club Sont de meilleurs refuges que toutes leurs merdes Lot d'consolation pour toutes leurs pertes Bouffent leur paye, jouent leur fête Flouent leurs rêves, trouent leur tête Louent leur schneck, chouffe leur quête. Minables ! [Pont : Sample] "Il était temps de coudre l'habit. L'empereur arriva pour l'essayage. À son tour, il ne vit rien du tout, mais n'osa pas le dire aux filous. Alors, ceux-ci ajoutèrent : « Ah, sans souliers a**ortis, l'effet sera gâché ! ». L'empereur enfila le pourpoint imaginaire et mit à ses pieds d'invisibles souliers. [...] Le souverain voulait tant son habit qu'il crut le voir vraiment. Il organisa un défilé pour le montrer à tous ses fidèles sujets [Couplet 2] Suis-je le songe que la hache du temps découpa ? J'compte éviter les pouffia**es et les coups bas Suis-je le son que la rage du temps est coupable Qui collabore au pouvoir depuis toujours et 'tout-par' ? Sous les pavés, les mensonges, sous les pensées, les gens sont Tous damnés, mes chants sont succédanés, dansons "Pas d'péridurale mais une balle dans la vésicule Pas d'voiture de luxe" sont le message que je véhicule Pas d'rêve de puissance, mec, pas d'règle de jouissance, merde Cette vie est un mystère, et j'la perdrai pas en chillance, frère Avancer dans la fureur, arme artisan*le en boîte crânienne Ils réussissent leur entrée dans la moyenne, je rate la mienne Je progresse à l'inverse des promotions, ils ne comprennent pas ça Je transgresse à grand verre leur ivresse triste, ils ne comprennent pas ça Je transperce quelques barrières érigées par des fantômes énarques Ne laisserai pas ces gens corrompre cette belle lumière qui se démarque Crève dans l'élan, errant et rentre dans les tempes Trêve dans les rangs et tant d'glaives dans les temples Partisan du rien du tout, je trempe dans les limbes Pouvoir dans les yeux, la beauté s'plante dans les miens Vain comme chercher des réponses dans les poches d'un 'leur-dea' S'mentent à eux-mêmes, avalent cul-sec tout c'que l'écran leur dit S'enracinent, ils sont les branches ballotées dans la guerre du vent Heureux comme des gosses, enfilent les habits neufs de l'ère du temps [Outro : Sample] " Suivi par les coquins, portant la traîne invisible du vêtement, l'empereur marchait lentement dans la rue en petite tenue ! Et tous l'acclamaient en criant : « Bravo, qu'il est beau ! », car ils savaient que seuls les idiots ne voyaient pas l'tissu. Mais voilà qu'un petit enfant, qui n'était pas au courant, s'exclama en riant : « Ah ! L'empereur est en chemise et il a les pieds nus ! ». Les gens réalisèrent soudain que c'était la vérité. À leur tour ils se mirent à crier : « Regardez, l'empereur n'a pas d'habits ! »." "« L'empereur est en chemise et il a les pieds nus ! » « L'empereur est en chemise et il a les pieds nus ! » « L'empereur est en chemise et il a les pieds nus ! » « Et il a les pieds nus ! »"

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