Lucio Bukowski - Paraponera lyrics

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Lucio Bukowski - Paraponera lyrics

[Eddy] Tu atteins ce stade où plus rien n’a d’importance Et, le soir, tu t’demandes : "Ils sont partis où, les potes ?" J’me souviens quand j’me disais qu’j’avais bien trop d’chance Tout c’que j’imaginais parti dans le trou des chiottes [Eddy] C’t’année, j’suis dans l’flou, éloignez vos dents d’loup C’t’année, j’suis dans l’rouge, Gaudino sur l’banc d’touche Faut-il oser continuer au risque de les pendre tous ? Quand il n’y a plus d’espoir, j'me cantonne à me rendre fou Fiston, n’aies pas peur, tout est si marrant Quand on s'perche la gueule ; t’atteins l’amour, deux jours après, t’as l’seum à mort Amor amor à Bora Bora : pas pour l’instant J’collabore avec ce pa**e-temps, [?attends qu'l'orage?] Agoraphobe et grince dents, vingt ans qu’t’adores la dope T’aurais pu être quinze ans content, tu vas t’mettre à dos Le soleil de printemps, l’été n’est plus important Les feuilles se mettent à tomber toutes les saisons, tu es perdu [Eddy] Tu atteins ce stade où plus rien n’a d’importance Et, le soir, tu t’demandes : "Ils sont partis où, les potes ?" J’me souviens quand j’me disais qu’j’avais bien trop d’chance Tout c’que j’imaginais parti dans le trou des chiottes [Lucio Bukowski] Spectre dans la veste, rêvant dans l’adverse Observe un temps d’arrêt, piétinant dans la peste Sceptre dans la raie, ils sont rois, je suis intact La**ée, mon âme a déclaré : "Persona non grata" Je suis bon qu’à faire des rimes tard Fédérer les marges et ouvrir un Frédéric Dard J’ai d’autres modèles que Montana Taillade au cutter mes mauvais rêves #LucioFontana Viser d’autres sphères, j’vous laisse vos manières et votre [?] Faut l’faire, je l’fais sans vos chèques et bosse cher Tous biens intégrés comme Hanouna et Voltaire J’reste seul dans un coin de c’que vous appelez "vos terres" Terminaisons nerveuses affutées sur des bouts d’réel Où je surnage entre des gens qui ont des goûts d’[?Téhesse?] Merde, la vie : une vierge avec un boule de cool déesse Les damnés cherchent d’autres damnés, ça crée des foules pérennes C’que tu vomis est plus qu’une sale ivresse Ta jeunesse mollardée au loin par tes glandes salivaires Le reste, c’est l’ordre et les congés payés La tise et la baise payante, la brise est désespérante L’été approche autant qu’l’hiver vaincra Incrustant des éclats de bouteille dans l’épiderme d’un crâne Et chaque réveil est un éclair pur Qui s’éteindra toutes les saisons, tu es perdu [Eddy] Tu atteins ce stade où plus rien n’a d’importance Et, le soir, tu t’demandes : "Ils sont partis où, les potes ?" J’me souviens quand j’me disais qu’j’avais bien trop d’chance Tout c’que j’imaginais parti dans le trou des chiottes

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