Kelem - J'ai le mal de vivre lyrics

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Kelem - J'ai le mal de vivre lyrics

(Couplet 1) Être jeune sans futur c'est dur pire C'est voir l'oxygène écorché quand tu respires C'est une révolution sans voix pour la clamer C'est la tendresse d'une mère que l'enfant n'a jamais Vie, j'ai tout à t'offrir mes espoirs, ce père, rire Ici quels mots peuvent t'écrire ? Parfois j'blues, j'plane et toi tu me splines Les illusions du vent Mon âme t'entend, rêve d'amour sans barrières, de tendresse sans manière, mais le mal s'étend On rit des autres, on s'internet pour ne rien dire La solitude quant à elle s'étend Elle prend la forme d'un clavier Personne ne t'avertit , dire que j'ai mal sur un azerty C'est l'enfant victime qui t'avertit c'est par ses mots xxx C'est le silence sur cette mélodie [REFRAIN] J'ai le mal de vivre, génération tout va trop vite (respire) J'ai tweeté ma rage sur le net (dis-moi) J'ai le mal de vivre, on né, on meurt , on suit (tu le sais) (Couplet 2) J'lève mon verre, viens qu'on en rigole Al Ghadir mes petits ont laissé leur nez dans une cour d'école L'enfant d'un Occident blasé, game over Dose de vie quitte à m'écraser Raser un crâne ou le couvrir d'un turban Apprivoiser ma haine, moi qui voulait dompter un pur sang J'veux changer le monde mais ma mère est sur Internet Elle rêve d'amour et d'sornettes Et moi d'un père qui m'gronde Ma révolution attendra A la télé y a ma série avec Xxx Kalachnikov, météo, guerre et partouze Dirigeants, s**e, argent, prime-time voulu par tous Depuis Fukushima, non ce mont a gonflé Salut bébé je t'aime mais le RedBull m'a castré J'ai le mal de vivre dans leur futur sous cellophane Mes fleurs sont fans mais moi j'voudrais qu'elles fanent... [REFRAIN] J'ai le mal de vivre, à la recherche d'un ciel bleu Dis-moi, y a peu de bonheur dans une carte bleue Comparez pas les mots corps au bord de l'abîme J'vomis leur rêve à la cantine et si j'm'abîme Ton regard me nourrit Là j'imagine d'amour offert par Xxx Le monde se c**alise et nos corps se Xxx J'ai le mal de vivre, mélancolie ou désespoir Le dépit nous sépare Sur mon radeau dis-moi qui tient la barre Le vent lui nous égare, et dont l'adieu est épaulé du hasard Être jeune, sans futur c'est dur, pire C'est voir demain, ici, écorché quand tu respires [REFRAIN]

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