Les fantômes réapparaissent. Quand les placards m'appellent Les cad'nas s'amènent, gêné par la caresse Les chicots s'plantent, et les pentes tourbillonnent Crois pas qu'ça va bien s'finir, j'ai tranché la gorge du copilote Les couloirs dorment, et la bonne somnole D'l'alcool fort sur sa chemise, nostalgique de l'automne Je ne grogne pas, non. Parfois, je mords ta chair Parfois je t'aime, parfois j'essaye, unique locataire De ma propre fosse sceptique, imperturbable je monte ma planque Marignan dans mes finances. 15 euros 15 sur le compte en banque Ils sont ensemble, nan nan. Ils font semblant D'être heureux à plusieurs, un peu comme les mecs qui trainent en bande Foutre le feu, a**umer les cendres Douloureux coût . Ma génération dévalle les pentes Rien à foutre de plaire à tes pine-cos J'veux juste arriver fort dans ta gueule comme une patate de Smirlo J'veux faire de la musique belle et vulgaire, un peu comme ma meuf Tous mes potes sont du-per, sentent le tabac et la sueur Génération poumons végétaux, drogues industrielles, et coke in the nose Nausées matinales, avortés à domiciles, et conçus dans les chiottes