Comme Litz se dit triste au piano voisin ! · · · · · · · · · · · · · · · Le givre a ciselé de fins vases fantasques, Bijoux d'orfèvrerie, orgueils de Cellini, Aux vitres du boudoir dont l'embrouillamini Désespère nos yeux de ses folles bourrasques. Comme Haydn est triste au piano voisin ! · · · · · · · · · · · · · · · Ne sors pas ! Voudrais-tu défier les bourrasques, Battre les trottoirs froids par l'embrouillamini D'hiver ? Reste. J'aurais tes ors de Cellini, Tes chers doigts constellés de leurs bagues fantasques. Comme Mozart est triste au piano voisin ! · · · · · · · · · · · · · · · Le Five o'clock expire en mol ut crescendo. — Ah ! qu'as-tu ? Tes chers cils s'amalgament de perles. — C'est que je vois mourir le jeune espoir des merles Sur l'immobilité glaciale des jets d'eau. . . . . . sol, la, si, do. — Gretchen, verse le thé aux ta**es de Yeddo.