[Couplet 1] J’observe les fleurs aux fenêtres Aperçois que j’n’ai jamais levé les yeux Cette femme vénéneuse foule l’entrée de l’hôtel Aux yeux brillants comme deux pierres précieuses Elle pleure des larmes de saphirs De la braise dans les pupilles Elle ne cherche plus l’homme de sa vie La belle saigne des gouttes de rubis Esseulé, vision biaisée Piégée confond miroirs et fenêtres Le feu naît, son venin Dans ses yeuz s’évanouit Et c’est fini, c’est fané [Pont 1] Dix milles messages sur l’répondeur C’est difficile d’toucher son cœur Faut s’contenter d’coucher son corps Donc à chaque soir ses démons pleurent Elle est seule Se rattraper elle essaie Celle qu’elle aimait l’a laissé là Qui peut la blesser, hein ? [Refrain] J’aimerais l’appeler, ce soir J’aimerais l’appeler, ce soir J’aimerais l’appeler, ce soir J’aimerais l’appeler, ce soir (Olaf) [Pont 2] Oh Mononoké Oh Mononoké Oh Mononoké Oh Mononoké [Couplet 2] Princesse comme Mononoké Elle recale les minots qui l’appelle Se balade en kimono Elle parfait sa manucure Belle comme Monica Quand elle me dit que, elle m’a niqué Mon cœur se brise comme le miroir d’un ancien mannequin Elle aimerait que j’la regarde comme j’la regarde Son regard froid se montre narquois Cœur grince comme chaque doigts Sur une ardoise, elle Change mon quotidien gris en aquarelle [Pont 3] On s’reverra dans l’au-delà Ne possède que des airs de ruse N’est plus sensible au flot de larmes Verse le poison, dans l’eau de rose [Refrain] J’aimerais l’appeler, ce soir J’aimerais l’appeler, ce soir J’aimerais l’appeler, ce soir J’aimerais l’appeler, ce soir [Outro] Dix milles messages sur l’répondeur C’est difficile de toucher son cœur Faut s’contenter d’coucher son corps Donc à chaque soir ses démons pleurent