J'dois finir avant que la feuille bourgeonne Avant que la fleur s'ouvre Des peuples, qui devant la peur souffrent C'est là que les battements du cœur doublent Faut jeter les mots sur les prompteurs télé Parler d'la réalité, fallait la réanimer Parier sur l'fait d'arriver à des hauteurs stellaires Quand j'observe les astres briller Je ne sens aucune présence céleste Dieu délaisse les Hommes Déteste cet être primaire Les constellations ne mentent pas Faut pousser le sens dans lequel le monde va Faut épouser la science, épouser la science, ouais Faut épouser la science car J'ai vu la Mecque j'ai vu Jérusalem J'ai vu l'effet d'une OD sur la communauté J'ai vu la terre j'ai vu les plus à plaindre Souriant, ils m'ont tendu la main J'ai marché à travers les bidons-villes Entant qu'enfant blanc, j'ai senti aucune envie Aucun semblant, de chacun son camp Pas vraiment ensemble, mais jamais de vrille en ville J'ai vu des centenaires anciens colonisés Qui sous les blancs n'ont connu que la misère Stopper à 10 mètre en nous voyant Par peur, le regard rougeoyant L’œil de Madras qui ronge la rétine Ou bien c'est l'alcool qui fonde la bêtise J'ai vu cet Hindou qui semble déterminé Qui voit ces m**ms qui songe à les terminer J'ai vu des muscles dehors Des mendiants, à l'allure plus que morte Après ça c'est dur de dormir Mais le dénis est dans la nature de l'homme J'ai vu la guerre civile, entendu la prière du midi J'ai pas compris, la violence de qui Cherche en la haine une raison de vivre J'ai vu la mort poussée machinalement J'ai vu l'horreur dans les archives allemandes Quand n'importe quoi te semble lier prends du recul, prends du, prends du recul Dehors il y'a de quoi t’ensevelir les idées En c'moment je nique mes idées, je nique mes idées La musique décide et j'ai du mal à vivre avec ces.. N'importe quoi te semble lier prends du recul, prends du, prends du recul Dehors il y'a de quoi t’ensevelir les idées En c'moment je nique mes idées, je nique mes idées La musique décide et j'ai du mal à vivre avec ces idées