Tentée d’sonder mes images d’avant C’était au temps des crocodiles glissants J’avais des airs de gosse si différents Perplexe face a ces reves récurrents Le charme s’éteint un peu Et je ferme les yeux Revenez victorieux O mes monstres odieux Pas a moitié j’étais absolument En garde et sans merci résolument Mon ame me guidait infailliblement Je parlais aux objets nécessairement Le charme s’éteint un peu Et je ferme les yeux Revenez victorieux O mes monstres odieux