[Intro] Mon pauvre ami... Vous êtes la victime de l'esprit querelleur de vos contemporains On vous cherche... On vous provoque... On vous persécute... Une sorte de fatalité... [Couplet 1 : Lomepal] Y'en a qui claquent des dents, là serait temps de réagir On s'en sort pas qu'en maltraitant des a**iettes en céramique Il vaut mieux naviguer sous l'eau Quand on peut pas lire des journaux Faits par des tâches laissant des ca**e-têtes dans les articles On nous provoque, faut a**umer les conséquences C'est déjà trop tard, on peut plus annuler cette bombe géante C'est l'temps des coups de sabots agressifs Y'a la même administration Que dans Les Douze Travaux d'Astérix J'veux unifier les habitants qui ne cessent de supplier, se justifier Parce que ça fait jubiler des a**istantes sociales Ne cherchant qu'à humilier, c'est fatiguant Faudrait les punir et les supprimer très rapidement, normal C'est qu'une idée mais on pense surement tous pareil On vit comme d'hab cachant d'étranges substances sous la veste L'État se branle durant toute l'année Mais en se butant on perd de l'endurance Laissant les grands truands nous la mettre [Refrain : Caballero] Les sous-ordres déboussolent dans ce sommeil de sourd Laissez-nous mordre, les loups sortent quand le Soleil se couche Censés s'buter on est tous oppressés ou tordus Tous oppressés ou tordus... Les sous-ordres déboussolent dans ce sommeil de sourd Laissez-nous mordre, les loups sortent quand le Soleil se couche Censés s'buter, on est tous oppressés ou tordus La nuit, souvent réfugiés dans des sous-sols sans être au net le jour [Couplet 2 : Lomepal] Y'a plus d'remords près du rebord, la provoc' sert de sauce Des trucs ressortent, on nous reproche d'être un bordel de fauves Mais c'est que des sornettes de pauvres Allez, m'parlez pas de vrai justice J'ai p'têt la clé de la réussite mais les portes restent closes Y'en a même qui s'bouffent le ventre avec des dents de loup Mais c'est pas pour une coupe de champ' Dans une chambre double Nan, ici, j'pense que tout est fait pour nous rendre fous Pour finir en dessous, seuls, sans recours à s'pendre le cou Le caprice a eu carte blanche, on n'y voit rien J'serai pas le bon type moyen Concitoyen de la ville la plus crade de France J'attends la résistance, et vite qu'on s'empare des finances A croire que y'a pas qu'quatre chemins pour se rendre à l'évidence J'reste saoulé, et j'fais qu'douter Seul comme un mec bourré, pète-couille et vulgaire Merde, on a l'air bêtes, cloués sur Terre à patienter près des cons Mais avant d'péter les plombs on était p't'être tous des Lumières [Refrain : Caballero] Les sous-ordres déboussolent dans ce sommeil de sourd Laissez-nous mordre, les loups sortent quand le Soleil se couche Censés s'buter on est tous oppressés ou tordus Tous oppressés ou tordus... Les sous-ordres déboussolent dans ce sommeil de sourd Laissez-nous mordre, les loups sortent quand le Soleil se couche Censés s'buter, on est tous oppressés ou tordus La nuit, souvent réfugiés dans des sous-sols sans être au net le jour