V.A.L.D
Sache que si je sors jamais c'est pour pas voir ta gueule
J'ai pas que ça à foutre de sourire, de jouer l'arna-coeur
Non j'suis bien tout seul
Tout me pa**e au-dessus à part ma teub
La sympathie m'ennuie j'ai cessé d'en avoir d'ailleurs
D'ailleurs, la symphonie du néant m'accompagne
Mélange de ma**e, ton-car, les testicules de c'tas d'fonblard
Les stars font de la peine
Juste des pantins pour qu'on zappe, qu'on bave
Qu'on stagne en bas
Qu'on ait l'air de penser devant le journal le soir
Ouais mais restons calme
Puisqu'il faut vivre, le reste au diable
Me parlez pas d'avenir je m'en fous j'suis même pas responsable
Et mes nerfs sont sales
Transforme mon lit en corbillard et score final
Être con ça doit être formidable
Ma vie avance, mes rêves deviennent des chimères
J'veux toujours être une star et j'esquiverai les camions citerne
Que faire de ses journées, à part attendre le cimetière
Je rêve de séjourner, loin de ces jours d'apparence si terne
Nous on est d'humeur fatale, déprime au fond du placard
Tracer sa voie dans le fracas et j'avance malgré ce qui traca**e
Deuspi l'entourage s'efface
Pas étonnant, que j'aie plus la gomme
Les annivs sont néfastes on baille quand y a plus d'alcool
On baille quand une pute racole
J'abuse mais même plus j'accoste
Les esprits ont changé on s'fait chier quand c'est plus hardcore
On était tit-pe on voulait tous trouver l'âme sœur
Je l'ai trouvée mais j'ai grandi maintenant je rêve de trouer sa sœur
Arrête de jouer les schla**eurs
Ma vie c'est juste d'être acteur
C'est vrai que je manque de valeur
Je vais finir sous un tracteur
J'excelle pour regretter, nostalgique dans toute sa splendeur
Une chose n'a pas changée, je reste babtou dans toute sa pâleur
La tess a besoin de biactole, ils sont obsédés par les chtar
C'est de plus en plus tot que les petits sont envahis par les tars
Et petit frère veut jouer les oufs, dis "gage-dé" à l'ainé
Je me souviens de ma première fouf, j'ai pris des cha**és à l'aimer
J'ai pris des tartes à recommencer
C'est vrai qu'je tarde à renoncer...
Problème des blagues dans l'énoncé, pour ça que je larve sur l'canapé
Attend, à 50 ans Suzanne Boyle rêve d'être enlacée, pas besoin de beaucoup
J'trouve ça aussi dar qu'un gueuch plongeant dans la C
Et songeant à la paix la guerre continue unique chose de fixe
Quand tout se barre en couilles et que les meufs jouent les ta**es-pé sur les pixs
Qu'elles se mettent à flouter tant qu'elles se mettent pas au fix
Que les mecs se mettent à brouter, c'est pas grave tant qu'ils se mettent pas aux bites
Toujours la même chose, au début :
"Je t'aime t'es la femme de ma vie"
Puis j'apprends à te connaître
D'un coup t'es plus la flamme de ma nuit
Triste à dire mais, t'écouter, j'ai la flemme, tu m'ennuies
Dégoûté, écarte les cuisses on s'appellera "chéri" ensuite
J'ai tellement donné d'attention sans rien recevoir
Tu peux sentir la tension monter dans mes textes
Excuse si ton grand-père se noie
Ça y est, ça y est je dis de la merde, j'suis dans l'ère du temps
Une chose est sûre, j'arrêterai pas d'baiser
Même si je perds du temps...
J'arrêterai pas d'aimer ! Même si je perds du temps
V.A.L.D