[Strophe 1]
Trainant sur ce parking, bercé par les sub-ba**
Depuis ma tendre enfance, le noir est mon dress-code
M'interdisant l'accès, de ces temples où s'enta**ent les filles pendant l'été
Je place avec méthode direct une balle dans le crâne du videur
Son corps sans même lutter, s'effondre sur le champ
Et juste derrière les portes, je pressent la clameur
De celles qui dans le club, s'enlacent innocemment
[Strophe 2]
Vous qui ne m'aimerez jamais, je viens vous annoncer
Que moi non plus je n'ai, jamais su vous aimer
Pas un seul d'entre vous, et sans aucun regret
Le doigt sur la détente, en visant je décime
Ces êtres superficiels dont j'annule en douceur
Les douloureuses années perdues en salle de gym
Par un peu de métal, qu'ils reçoivent en plein cœur
Leur regard reste fixe, dépourvu d'expression
Comme dans ces jeux ratés en First Person Shooter
Je les regarde tomber, avec satisfaction
Avant l'apocalypse, dont je suis le spoiler
[Strophe 3]
Vous qui ne m'aimerez jamais, sachez en vérité
Que moi non plus je n'ai, jamais pu vous aimer
Pas un seul d'entre vous, et sans aucun regret
Préférant les lumières laser qui s'entrelacent
A ces robes de stra**, aux lignes échancrées
Je regarde tout ce rouge, se répandre en surface
Par dessous les décombres, de cette fin de soirée
Sur le sol leur vêtements, se colorent avec grâce
Comme au cours d'un finale, de T-shirt mouillé
Où les canons à mousse, auraient laissé la place
A la version vermeil, d'une averse d'été
[Strophe 4]
Vous qui ne m'aimerez jamais, sachez en vérité
Que moi non plus je n'ai, jamais cru vous aimer
Pas un seul d'entre vous, et ce, sans un regret
Et si l'hiver, les amoureux se reproduisent
Je reviendrai, l'été prochain et le suivant
Gardant espoir, qu'un jour ou l'autre je détruise
L'humanité, jusqu'au dernier des survivants