Il est l'heure de retrouver le Belge du Supplément. Aujourd'hui, il ressuscite Walt Disney. - Comment allez-vous? Monsieur Philippot ne vous a pas fait trop Philipper? Alors sachez-le, cha**ez-le si vous êtes armé, séchez-la si vous venez de faire une machine ou laissez choir si vous préférez laisser tomber, mais le 5 décembre, c'est l'anniversaire de la naissance de Walter Disney, plus connu sous le nom de Walt. L'occasion faisant le larron, même si Thierry ne fait plus Le Luron, nous décidâmes, oui, cette semaine j'ai décidé de me nounoyer, d'aller faire un brin de Walter causette avec le papa de Mickey-l'ange, depuis qu'il est au paradis. Nous prîmes, ce qui est toujours agréable en fin d'année, nous prîmes donc un vol direct pour Morne la Vallée à bord d'un Dumbo Jet. Une fois arrivé au pied du château de la Belle, qui cherche toujours son Prince sur les sites de grands contes, je découvre que Disney parade entouré de sa bande de ciné qui s'anime sur son pa**age. Il y a là Mickey au bras de Minnie-Matty, qui réclame toujours ses droits de hauteur. A l'inverse de Cendrillon qui ne réclame aucun droit, car c'est Perrault qui fait les comptes. Plus loin, Laetitia Castafiore, l'égérie de se voir si belle en son miroir, défile pour Disney Chanel Très Chanel. Très charnelle même, à force de la regarder, je me suis pris Peter, Pan dans la gueule! Le décor du Walt spirit maintenant dépeint, je tente d'aller à la rencontre du maître des lieux. Attiré par l'appel de la forêt, ivre de la jungle, je me dirige alors vers un cri qui vient de l'intérieur. Et là, je découvre Bambi, qu'on a tous connu en faon... C'est devenu un cerf rusé qui Brahms au fond des bois. Ensuite, je croise un âne à demande où je peux trouver Walt. Il me répond qu'il s'est fait la Belle. Planté là comme un Clochard, il ajoute "Walt is Walt", dit l'âne is dit l'âne. Connaissant la chanson, dépité, je me dit que je dois me Delpecher si je veux avoir le temps d'honorer un autre anniversaire, celui de Wolfgang, Amadeus, Mozart... Et caetera, qui nous quittait un 5 décembre des suites d'un concert généralisé. Sur un coup de tête, nous décidâmes alors d'aller en Autriche en vélo. C'est donc sur le beau vélo de Ravel. C'est donc sur le beau Ravel que nous rejoignâmes la capitale. A Vienne que pourra... Arrivés au Bar Bach, un bar-rock de la ville, je demande à l'autri-chien de garde, un Valls de Vienne, si Mozart est là car il me semble entendre du brie à laitage. Il me répond qu'à moins d'être parti-tion rien dire, il devrait être en train de composer un morceau avec Carmen et George Bizet.
Vous avez dit Bizet? Oui, car en fait Carmen avait une folle envie de Bizet. Il nous invite à monter un ton au dessus, pour aller voir où il crescendo. Devant la porte de la chambre, à musique de chambre, nous sonates. D'un très doux "entrez" oui, la musique adoucit les morts, nous entrâmes. Une fois à l'intérieur, souhaitant être seul avec le Maître, je demandai à la Diva-Callas se faire voir. La magie opéra, car elle s'en alla rejoindre Christian jouer du clavier ailleurs. Mozart n'était pas tout à fait Sol. Son chien La Si, son plus fidèle La MI, ne faisait pas DoDo, il rongeait un nonosse sur le Figaro. Dans un coin, j'aperçu le rival de toujours, Antonio Saliéri... Saliéri pas du tout d'ailleurs, trop occupé à tenter de lui piquer le statut d'homme-orchestre, le statut même que Rémi Brigua. Vu l'heure, je me concertai avec moi-même, puis me concerto, et finalement me concertard car il était déjà pa**é minuit. Evitant toute fausse note, je décidai de m'en aller. Wolfgang orchestra alors mon départ en sortant les violons. Eh oui, pas besoin de tlonflons ni trompettes pour marquer notre amitié naissante, seuls les violons scellent... Je m'en allai alors, porté par le murmure du son. J'adore ça, oui j'ai toujours aimé quand la mélodie, elle sonne