Alors, vous l'aurez peut-être remarqué, ou peut-être pas si vous nous regardez à la radio, mais je ne suis pas du tout Doria, ni son frère Dario, ou sa soeur Dariette ; ce qui est a**ez logique, puisque nous n'avons pas la même mère, ni la même paire. Alors, j'en entends déjà qui se demandent : "Eh la Miss, mais t'es où ?". Eh bien, force de son succès, et malgré la gloire qui l'auréole, parce qu'elle le vaut bien, Doria n'a pas été débauchée par la concurrence, on l'a bien vu sortir du studio avant que Catherine l'aborde, mais sans plus. Du coup, pour pallier à son absence - même si j'habite de plain pied - j'ai reçu un appel, non pas de Dieu, mais d'Antoine, ce qui équivaut peu ou prou à la même chose, enfin surtout prou, si on veut faire le marin, me demandant de remplacer Doria au pied levé. J'ai finalement gardé les pieds sur Terre, c'était plus facile pour venir. Alors, comme il y a un début à tout, ou une fin à rien, ce qui ne veut strictement rien dire, je vais tâcher, non pas ma chemise, mais d'a**urer l'intérim de la belle de qualité, tout en étant conséquent, surtout sécant d'ailleurs... "C'est quand qu'on mange ?" ; "C'est quand qu'on s'en va ?" ; "C'est quand qu'il va enfin nous parler de la pluie et du beau temps, de Groodt ?"...
Eh bien alors, ce week-end, ou fin de semaine pour ceux qui regarde cette émission en VF : il fera sec et pluvieux, avec des risques de températures variables ici ou là... surtout là d'ailleurs... mais, ce n'est pas très grave, puisque vous êtes ici. Alors, pour nos amis d'outre-mer, c'est pareil, mais plus loin. Pour ceux d'outre-Quiévrain, c'est moins loin, mais plus plat. Et pour ceux d'outre-tombe, le temps s'est arrêté, donc on s'en fout. Bien. Avant que Jeannette me demande : "Porqué te vas ?", je... c'est amusant... je vous laisse avec Antoine pour la suite du festival de Caunes. Et à ceux qui, au nom de Doria, s'écrieraient : "Touche pas à son poste !", je répondrai simplement : "Tillier, et surtout, t'y restes".