Tel un éclair dans le ciel, les nuées me guettent
Mate vos chairs du 7ème, même si elles s'achètent
L'altitude douce et amère me monte à la tête
Ta gratitude fait ma misère tu ramènes à la braguette
Ma solitude, au vulgaire des K7
Je suis l'empreinte de l'éternité
Loin de l'orgueil, la vanité, né de corps enlacés
Si peu d'éclats et tant de draps souillés
Tu viens toujours avant l'instant où tout est partagé
Je suis l'empreinte de l'éternité
Loin de l'orgueil, la vanité, né de corps enlacés
Si peu d'éclats et tant de draps souillés
Tu craints l'amour qui sort du temps et mène à mes sommets
Comme si l'amour était un jeu
Les sentiments, un voeu
Et qu'au mieux, le feu
Jaillit d'un coup dans l'entre deux
Comme si le s**e et l'esprit
Qui font de tout un ness-bi
Laissaient ce cœur investi
Dans un combat sans merci
Je blâme encore le système selon lequel tu pa**es de chat à chattes
Dans l'attente de celle qui te servira des pâtes
Car au bilan t'as que des critères
Des sanctuaires de partenaires
Qui se foutent en l'air
Exaucent tes prières
Et... lâchent l'affaire
Mais qu'est-ce que je fous là-haut ? Nuages collés à la peau comme le lichen
J'attends comme un con les soirs et week-end
Et toi, tu presses le chien, tires des chiennes
Frappes sous l'aine des Sue Helen
Ces boulets te freinent
Leurs chaînes au bout qui traînent
Combien rient en s'aimant, fusionnent, jettent les intérêts comme les vêtements ?
Dans ces moments résonnent les plaisirs dans mes couloirs, densément
Certains partent au mouroir, je suis bien placé pour tout voir, forcément
Bon sang, tu perds le nord et les sens quand l'autre y consent
Ca dégage, c'est pas lèg', 7 étages, on le sent !
Quelle altitude, quelle solitude
Ce rap rude en fait l'étude
Alors contrôle tes attitudes
Servitude
Fantasme
Plénitude
Marasme
Ma "petite mort" révèle un chiasme
Le reste, Sophocle en hémicycle
Débâcle de spasmes
Simulacre d'asthmes
Avant l'orgasme...
...ça gicle