(Nostal)
Meme si les larmes coulaient souvent
Que la vie pa**e en coup d'vent
On s'est tous surpris a sourire en repensant aux bons moments
Maman, reine de courage, restant gardienne des lueurs d'esprit
Ici sur Terre ou loin dans les nuages
Dans un désert plein de mirages, depuis notre commencement
On pleure les disparus en pensant comme on s'manque
Les ages ont pa**es mais n'oublient pas les pensées qui ont fait naitre des lueurs surs nos visages
Laissés dans le flou de notre propre image tout le monde dans sa traversée a pris ses propres virages
Il m'reste quoi de plus sur, a part l'empreinte des pas que j'ai posés dans le sillon d'une vie sage je crois
Toutes les nouvelles lunes pa**ées a sortir dehors
Sans une thune, pa**é a sourire de l'or, j'me souviens
Toujours dans le meme décor on trouvait mille et une facons de s'y plaire
(Tonio)
J'me souviens quand j'etais minaud il m'fallait rien pour m'amuser
Dix ans plus tard dans le tiécar j'vois qu on fout rien c'est abusé on s'retrouve tous accusés cous' mains dans la bouse la juge étouffe le sentiment d'bien etre et le bonheur qu'sans elle la rue épouse
J'me souviens d'cette inconscience, de cette insouciance, du choc la premiere fois qu'j'ai vu un gamin sous transe
J'tape des bares quand j'rememore les années college, l'époque des gros collages
Ou on s'faisait notre cons sur des bouts bien trop ledges
J'me souviens d'ces années folles d'la coupe du monde 98
Putain ca fait un bail depuis j ai pris 90 cuites
J'avais dit qu'j'toucherai pas a l'illicite, au sh** a la picole
Depuis tous les soirs j'éfrite, j'fume et je m'envole
J'me souviens qu'cétait pas drole le soir d'la mort de maxime
Quand j'ai vu partir en taule certains des mecs de ma team
Depuis je fais qu'soigner ma rime ma plume m'anime
J'veux qu'ma clique soit plus maline qu'on s'ra**emble tous et qu'les actions soient unanimes
(refrain)
Je me souviens
Ces nuits blanches bercées par le silence