[Interlude : Jhon Rachid]
Mes biens chers frères, mes biens chères sœurs, le rap n'est plus. À l'orée de sa vie, il vacillait au milieu des twerks, des gimmicks et des onomatopées. Plus de phrase, plus de verbe, plus de COD, parfois même, juste des bruits. Il avait perdu toute raison d'être. Notre cœur se serre, alors pleurons le ensemble. Que faire ? Se lamenter, mettre un CD de Manau et se dire qu'au final ce n'était pas si mal que ça ? Non ! Car, même des ténèbres abyssales, la lumière trouve toujours son chemin. Et, comme le disait le frère Lino, quand tu n'as rien à dire : tch tch.