Les lumières s'éteignent
Heyyy yah
Heyyy yah
Le ciel se ternit
Et ce, dans ce cas, si on perd
Derrière toi, dans l'éclat, le sillon me plait
Le ciel se ternit
J'ai levé les yeux, tu y étais comme Ca**iopée
Quand tu ne sors pas les crocs, tu sors les griffes
C'est un côté nympho et c'est, d'un côté, navrant
Je veux prendre soin de ton coeur en émeraude tant j'aimerai repartir émérite
Rempli d'émotion était ton ascenseur
Je veux fuir très haut le fléau de l'ascenseur émotionnel
Notre route se morcele, "prends ma main qu'on se hisse"
Lui ai-je dit, sans savoir que ses démons se lèveraient
La friction de nos corps dans cette danse endiablée
Sous l'éclairage du clair de lune
L'éclat d'une supernova, mon sourire parait royalement rayonnant
Dissimulé sous cet air de ruine
Les étoiles pourraient s'aligner
Seule idée : c'est de te suivre dans mon cas
On voit les choses en grand à en oublier
Que les petites pierres font les grandes montagnes
La chaleur de ton corps me piège
La mer sur laquelle on voguait s'est gelée
Pendant combien d'piges?
Seule la rage colorie le mirage et le pire des cauch', c'est que je l'aime
Des heures l'un et l'autre au bout du fil avant de le perdre
Jusqu'à ce que l'appel s'écourte
La peine me charme et m'a désarmé comme ma belle et ses courbes
Les lumières s'éteignent
Heyyy yah
Heyyy yah
Le ciel se ternit
Et ce, dans ce cas, si on perd
Derrière toi, dans l'éclat, le sillon me plait
Le ciel se ternit
J'ai levé les yeux, tu y étais comme Ca**iopée
La réussite se perd, le néant
L'a recouvert, vraiment
Désolé que ma fierté ne sâche faire
Sécher tes joues perlées par nos nerfs, vraiment
On se meurt à vif, des mots rares, démoralisé
Mon regard sur ton être rivalise avec Mona Lisa
Le ciel est morne, pourquoi suivons-nous cette mode abyssale ?
Sur toi, j'ai jeté mon dévolu
Accompagné d'espoir dans le noir que je peux vite tâter
T'as baissé les yeux quand j'ai levé les miens
Nos sentiments se fixent derrière des vitres teintées
Nos égos rivalisent
La lumière n'pa**e qu'au travers du vitrail
Nos peines de coeur seraient-elles vitales ?
Nos rêves ravagés se noient dans le rivage, triste
Les lumières s'éteignent
Heyyy yah
Heyyy yah
Le ciel se ternit
Et ce, dans ce cas, si on perd
Derrière toi, dans l'éclat, le sillon me plait
Le ciel se ternit
J'ai levé les yeux, tu y étais comme Ca**iopée
Les larmes versées pour ma famille au ciel
Furent les mêmes que j'ai versé pour toi
J'aurais pu faire mieux mais il fallait oser
Donc j'ai foncé vers ces routes noires
Pour préserver ce lien, je me suis défoncé
Faussement, j'ai viré dans l'fossé, j'en ai versé des flots et des verses pour toi
Je n'avais que ton cœur pour déserter le mien
Tu cherchais l'amour, si le train t'y dessert, fais le bien
C'est fait de rien mais d'un tout
Mais d'un coup, t'es déçue, je fais le mal
Quand tu ne fais que me cerner, je me serre contre tes atouts
J'étais con, je l'avoue
Mais bon, prêt à tout
Plus d'une fois, mes yeux sont pa**és de verts à rouges
Qui joue de ses victoires perdra tout
J'étais sur le droit chemin, je crois bien que je l'ai rebroussé
J'ai la frousse et je fais que douter
Le cœur nous enterrera tous
Donc pera couz, c'est tout ce que j'ai
C'est tout ce que j'aime dès que tout est saccagé
Et je m'entête à t'oublier
Dans mes yeux, je n'avais que toi et cela même si la foule se jette
Entre nous, c'est remords, de-mer et remous
Un choc de plus, j'y renonce, je laisse la foudre se taire
Qu'ils aillent se faire foutre
Je n'ai que toi et ma fougue avant d'être à court d'air
À court terme, je tenterai de me faire un nom
Depuis que tu m'as rappelé que j'existais
Si j'finis pas au dessus comme un satellite
Ce sera pas à Sainte Hélène mais dans le décor tant céleste que j'irai m’exiler
La vie nous est offerte
Comme une balle perdue
Rares sont les élus qui ont su l'esquiver
Des sourires, de ce que j'ai comme souvenirs
Je n'ai jamais vraiment su en esquisser
Veuillez m'excuser
Je n'étais que ce ne-jeu que l'on laisse glisser
Alors donne moi
Une autre chance, pardonne moi
Si de moi-même
Je laisse une part en toi
Ce n'est qu'une parenthèse
Dans nos années restantes
Si je presse tant la gâchette
C'est que le temps qu'on me tend n'est pas rentable alors je l'achève
De haine et d'amour, c'est de ça qu'on est fait
De haine et d'amour, c'est de ça qu'on est fait
De haine et d'amour, c'est de ça qu'on est fait
De haine et d'amour, c'est de ça qu'on est fait
De haine et d'amour, c'est de ça qu'on est fait
De haine et d'amour, c'est de ça qu'on est fait
De haine et d'amour, c'est de ça qu'on est fait
De haine et d'amour, c'est de ça qu'on est fait