Quandtu ….Ouvres labouchemaisnedis rien
Quandtu ….Te tais et ne disdonc pasplusque tu nesais
Soliste,tu décides denepluschercher labrèche
Etd'une émotion allumertamèche
Labouche tropsèchepour propulserl'idée
Fondamentale,le sentiment l'ineffable
L'indicible légèretédel'être
Qui d'un regardse propulse àdes kilomètres
Lesmotsinsufflent un pouvoir qui n'apasdenorme
Néanmoinsil estdilué quandladouleur noustord
Quelque part sedresse une frontière
Audelàde laquelle, lesmotsquinous curent
Font pales figuresd'œillères
Mais j'interfère,je ne peux metaire
Fermementdéterminéà faire toutela lumière
Surlescapacitésd'autrui
Afairevivre les non-dits
L'émotion traduiteici
Tire saforcedece qui
N'apasétéretranscrit qu'en silence
Par soucis declarté…
On s'est compris
C'est laquête del'invisible
Matérialiserlesactes del'esprit, sansperdrele fil
Dansl'interdiction d'outrepa**erlaligne
Seulsy parviennentlespus agiles, les plusdignes
Imaginequelesmotsglissent
Tempsqu'ils ne fontpasde hors-piste
Respectde l'intime, fineintention
L'abstention au profit dessensations
L'arc-en-ciels'apprécie sansle concours dessons
Ily aunelimitequi subsiste où lesmots neparlent pas
Unepulsion et lelangageest remisen question,t'a**enti ça
Lalogique,lasémantique
Amour, Haine, dépa**ent les mots
Tropde gênepour peindrece genre detableau
Penser, penserpar flash
Penser, seprojeter,un geste, un regard
Sont parfois si loquaces,qu'aucun motnelesremplace
Penser, seprotéger, penserpar flash