Derrière chez nous, il y a ... Derrière chez nous, il y a une jeune couturière À chaque point qu'elle faisait, sont cher amant la salua Et par un doux baiser, elle le récompensa La belle, veux-tu venir ? La belle, veux-tu venir au bois sur la fougère ? Ah ! oui, amant, franc cavalier, avec toi je m'en irai Et avec mon honneur, monsieur, je reviendrai Mais quand il fut rendu Mais quand il fut rendu au bois, sur la fougère Lui mit la main sur le genou Par deux, trois fois lui fit l'oeil doux La belle, embra**ez-moi, je n'aimerai que vous Galant, veux-tu venir ? Galant, veux-tu venir au logis, chez mon père ? Mon père, il a de beaux chevaux Le roi n'en a pas de plus beaux.
Laisse-moi aller, tu auras le plus beau ! Mais quand il fut rendu Mais quand il fut rendu au logis chez son père La belle lui donna, la belle lui donna un cheval en peinture Tiens, cher amant, voici le cheval que je t'avais promis au bois Vite embarque dessus et promptement t'en vas ! Faut-il pour un cheval Faut-il pour un cheval qui n'a ni selle ni bride Avoir laissé aller, avoir laissé aller une si tant jolie fille Tiens, tu ressembles à un épervier qui tient La caille au dessous ses pieds Au lieu de la tenir, il l'a laisse s'en aller Au lieu de la tenir, il l'a laisse s'en aller Au lieu de la tenir, il l'a laisse s'en aller