Le gardien de mes regrets me guette,
s’a**ure que je n’oublie pas mes tourments,
me présente en rafale les pires racoins de mon subconscient,
sirote mes larmes vieillies, fume les cendres de mes souvenirs ;
j’ai mis tant d’efforts à les faire disparaitre.
Le réveil précipitera la fin de mon rêve pénible.
La lumière douloureuse viendra à bout de toute envie de rester forte.
Il me suivra la journée durant à une distance raisonnable,
me laissera gouter à l’illusion du bonheur.