Yeah C'est juste une histoire d'eau qui s'aiguille sur le fil des cascades Mais de fil en aiguille ôtez-lui les rêves où elle s'évade Elle deviendra un précipice agressif sur chaque bord Il n'existe pas pire que l'eau qui dort Que l'eau qui dort Fils de la nuit et des rêves, moi je cultivais les chimères Comme un talent, les nymphes m'avaient pour élève qui persévère Dans chaque vers en rêvant Je lisais sur leurs lèvres couramment Les signes du langage des cygnes de l'étang C'est ma force sans alarme, moi je vis dans les eaux calmes S'y mirant le narcissisme des étoiles Elles parlent à mes iris, mettent la lumière dans mes oreilles Filles du pancalisme, les chimères devinrent réelles Uniques beautés du ciel dans un monde de fiel Uniques sucrées du ciel sur la voie lactée de miel Et puisqu'elles aiment les rêv'ries solitaires du ruisseau Les constellations s'isolent et reflètent les songes dans les cours d'eau et marécages Les reflets de la lune sur le miroir des rivages Mais la pluie vint ternir avec ombre et nuages Les mélodies d'la lyre sur les couleurs des images On vit les cieux se couvrir, avec le temps des orages Venir, les tristes sires matérialistes qui songent A définir pour occire la liberté du songe A l'av'nir, le rêve devient étrange Ca**andre ne prédit plus dans l'eau, oublie tous les destins Et au descendre du bateau Morphée est clandestin C'est juste une histoire d'eau qui s'aiguille sur le fil du ruisseau Mais de fil en aiguille ôtez-lui ses amours ruisselant Se remplissant de colère, elle deviendra océan jusqu'au ras bord Il n'existe pas pire que l'eau qui dort Yo, fils de la nuit et des rêves, moi je cultivais l'amour comme un talent Les nymphes m'avaient pour élève et les naïades pour amant Car j'embra**ais leurs lèvres couramment Dessine avec des mots leurs mains au creux des lettres
Et leurs corps contre mon être m'intiment Langage des abimes de l'océan Je vis dans les eaux profondes se troublant Les filles de l'érotisme comme Vénus dans le ciel Unique beauté à celle que j'imagine dans ce monde de fiel L'unique sucrée du ciel surplombe des mers salines et des déserts de sel Et puisqu'elles n'aiment pas être seules comme Messaline Les constellations s'alignent et reflètent mes mirages Comme des gouttes de lumière sur le miroir des rivages Mais la pluie vint ternir avec ombre et nuages Les mélodies d'amour mirent des notes un peu plus sages On vit venir avec le temps des orages Les tristes sires moralistes qui savourent Vont définir pour occire la liberté d'amour A l'av'nir, les cœurs deviennent étranges Blessé dans son talent, Cupidon n'imite plus le Comanche Plus de péchés mignons et d'Aphrodite qui s'allonge C'est juste une histoire d'eau qui s'aiguille sur le fil des cascades Mais de fil en aiguille ôtez-lui les rêves où elle s'évade Elle deviendra un précipice agressif sur chaque bord Il n'existe pas pire que l'eau qui dort C'est juste une histoire d'eau [x6] [C'est juste une histoire d'eau qui s'aiguille sur le fil du ruisseau Mais de fil en aiguille ôtez-lui ses amours ruisselant Se remplissant de colère, elle deviendra océan jusqu'au ras bord Il n'existe pas pire que l'eau qui dort C'est juste une histoire d'eau qui s'aiguille sur le fil des cascades Mais de fil en aiguille ôtez-lui les rêves où elle s'évade Elle deviendra un précipice agressif sur chaque bord Il n'existe pas pire que l'eau qui dort] [x2] Il n'existe pas pire que l'eau qui dort Que l'eau qui dort C'est juste une histoire d'eau Pour tous mes gars On a qu'le rêve et l'amour, il nous reste ça Yo Yo Il nous reste ça Et on le gard'ra