(Pascal Auriat/Didier Barbelivien/David Marouani) T'avais les cheveux blonds, un crocodile sur ton blouson. On s'est connu comme ça, au soleil, au même endroit. T'avais des yeux d'enfant, des yeux couleur de l'océan. Moi, pour faire le malin, je chantais en italien. Est-ce que tu viens pour les vacances ? Moi, je n'ai pas changé d'adresse. Je serai, je pense, un peu en avance, au rendez-vous de nos promesses. Est-ce que tu viens pour les vacances ? Moi, je n'ai pas changé d'adresse. Je serai, je pense, un peu en avance, au rendez-vous de nos promesses. Je reviendrai danser une chanson triste, un slow d'été. Je te tiendrai la main en rentrant au petit matin. C'que j'ai pensé à toi, les nuits d'hiver où j'avais froid. J'étais un goéland en exil de sentiments. Est-ce que tu viens pour les vacances ? Moi, je n'ai pas changé d'adresse.
Je serai, je pense, un peu en avance, au rendez-vous de nos promesses. Est-ce que tu viens pour les vacances ? Moi, je n'ai pas changé d'adresse. Je serai, je pense, un peu en avance, au rendez-vous de nos promesses. Amour d'enfance, d'adolescence. On dit "je t'aime" et on oublie quand même. Est-ce que tu viens pour les vacances ? Moi, je n'ai pas changé d'adresse. Je serai, je pense, un peu en avance, au rendez-vous de nos promesses. Est-ce que tu viens pour les vacances ? Moi, je n'ai pas changé d'adresse. Je serai, je pense, un peu en avance, au rendez-vous de nos promesses. Est-ce que tu viens pour les vacances ? Moi, je n'ai pas changé d'adresse. Je serai, je pense, un peu en avance, au rendez-vous de nos promesses.