Tous les soirs sans fins
je trainais sur ma vespa
dans mon gilet de satin
c'étais la dolce vita...
je cherchais l'aventure
jusqu'au petit matin
je me prenais pour ben-hur
en conduisant d'une main
Mais je t'ai rencontré!
et puis tout a changé!
Le piège étais facile
tu es tombée dans mes bras
on se prom'nait en ville
c'étais la dolce vita...
et cette façon que tu avais de me serrer
contre le revers de mon smoking blanc ca**é
ne pouvais pas me blazer
même dans l'obscurité
je te revois encore
Elsa... Elsa... je ne t'oublie pas... Elsa...
Pourquoi es-tu partie!
je n'ai rien compris!
J'ai lontemps cherché
la nuit à te remplacer
et pour quelques heures parfois
c'étais la dolce vita...
et cette façon que tu avais de te serrer
contre le revers de mon smoking blanc ca**é
je n'l'ai jamais retrouvé
mais le soleil décline
sur ma memoire en ruine
Tous les soirs sans fins
je traine un vieu désaroi
dans mon gilet de chagrin
loin de la dolce vita...
et cette façon que tu avais de te serrer
contre le revers de mon smoking blanc ca**é
je voudrais l'oublier
mais dans mes rêves glacés
je te revois encore
Elsa... Elsa... tu es toujours là! Elsa... Elsa...