Du dernier décan
Je suis natif
Je suis turbulent
Je suis Négatif
Poussé par le vent
Sur quelques ifs
Me suis vidé de mon sang
Trop émotif
Je rêve d'un printemps
Définitif
Car mon âme n'est que tourments
D'une épitaphe
Gravée pour longtemps
Dans les récifs
Je reste pourtant
Dubitatif
Face í l'étendue
De ma peine
Que n'ai-je entendu
Les sirènes?
Face í l'étendue de ma peine
Je me baignerai nu
Dans la Seine
Mais mort ou vif
Je reste Négatif
Puisque tout fout
Le camp
Du dernier décan
Je suis natif
Je suis turbulent
Je suis Négatif
Poussé par le vent
Sur quelques ifs
Me suis vidé de mon sang
Trop émotif
Je rêve d'un printemps
Définitif
Car mon âme n'est que tourments
D'une épitaphe
Gravée pour longtemps
Dans les récifs
Je reste pourtant
Dubitatif
Face à l'étendue
De ma peine
Que n'ai-je entendu
Les sirènes?
Face à l'étendue de ma peine
Je me baignerai nu
Dans la Seine
Mais mort ou vif
Je reste Négatif
Puisque tout fout
Le camp
Du dernier décan
Je suis natif
Je joue de l'oliphant
Je suis qu'un primitif
Mais cela dit en pa**ant
D'un ton plaintif
Je suis un enfant
Si craintif
Face à l'étendue
De ma peine
Insoumis allongé
Dans l arène
Face à l'étendue
De ma peine
Ne suis-je qu'un sauvage
Qu'on refreine
Face aux vérités
Qu'on a**ène
Comme des coups de bambou ou d'ébène
Mais mort ou vif
Je reste Négatif
Puisque tout fou le camp