Les gens diront qu'c'est un cla**ique
Bien après qu'j'sois parti ailleurs
Apek Walsh, impa**ible
Un attrait froid parmi la peur
Dans les décombre et les tournants
D'la vérité ses coin les plus sombres
Les décompte et les tourments
D'lâme hérités d'ses lointaine pulsions
Les gens diront qu'c'est un cla**ique
Bien après qu'j'sois parti ailleurs
Apek Walsh, impa**ible
Un attrait froid parmi la peur
C'est, sourire à la merde quand, pourira sa quête et
Courir à sa perte, à mille à l'heure
Les conséquences des ponts cédant
Face aux torrents du mal de vivre
Ces compétences, c'est con s'étendent
S'écrasent au rang d'une part de vide
Qu'on porte à la place du coeur, hors de la ma**e stupeur
De s'rendre compte que l'effort dupeur
Défonce l'élan d'une barre de rire
C'est ainsi qu'on s'est ta**é dans cet asile
C'est a**is qu'on est tasé par cette insigne
C'est un signe on n'est a**ez pour étinceler dans cette a**ignation à faire des chose contradictoires comme une pa**ive pa**ion
Quand il s agit d'faire de l'ennui la boucle infinie du présent
Sans qu'il libère de l'envie d'un bout d'un mini dû décent normal
D'avoir les crocs tous émoussés, à voir les pros nous étouffer
à croire les beaux jours et glousser, cordial, pourquoi ?
La folie blesse sans politesse
Te saoule à mort sans trop d'ivresse
La foule aborde un gros vide est-ce moi ?
Ou les autres qui sont d'accord d'abolir l'estime
Quoi ? y'a que toi qui croit qu'le nombre d'alcooliques baisse !
A cloche pied dans un séisme
Fauché par un fait triste
Minoritaire comme un gaucher
Mon succès sera d'être coché dans ta playlist
Pourquoi taper des refrains les choses se répètent déjà a**ez
Entre les baffes et les requins c'est chaud le reste est cadena**é
On a beau se dire qu'on pèse
En vrai t'as vu c'est manque de poids et les abus de langue de bois nous laisse une flopée d'hypothèses
Te sens tu mieux ?
Contradictoire depuis tout jeune de ne connaitre qu' un temps pluvieux..
J'en ai vu des gens pa**er
Des courants d'air et des fantômes naviguant sur le fil du temps hein..
Pas d'tremplin, mais des ulcères enlacés
Le fou renseigne sur les symptômes habitant sur le fil du pantin
Tourner la page impossible car la fin du bouquin s'écrit dès le début
Des cri d'aide vécus comme une tache indocile sont les frais des décus qui se crashent impa**ible !
J'aimerai trouver la vie trop courte franchement ca s'éternise parfois
Quedalle sur la palette franchement ca ç'est terni y'a quoi ?
Chercher l'bonheur c'est inutile
Comme footballeur qui vit du deal
Les crois pas ceux qui disent l'inverse
Sont des voleur qui t'filent du vide
Qui m'ont dit "fait vibrer l'égo d'ceux qui se pensent
Frères libres et égaux" j'm'en dispense
Sans résistance, j'prends mes distance
Pour faire rimer les mots quand ils dansent
Au bal de mes pensées, au bal de mes pensées..
J'ai les remords du survivant et les tracas du condamné
à la remorque en surkiffant le manque de fracas spontané