C'est un pays qui s'habille de lumière De couchers de soleil et d'éternels étés C'est un pays qui s'habille de lumière L'œuvre à n'en pas douter d'un immense couturier Les flots de rouge sur mes tissus En sont issus Les jaunes vifs qui émerveillent Même le soleil Toute cette beauté qui va si bien Aux demoiselles Je la butine dans le jardin Majorelle C'est un pays qui s'habille de couleurs De pourpres nymphéas et de bleus insensés C'est un pays qui s'habille de couleurs L'œuvre à n'en pas douter d'un immense couturier Mes robes fluides viennent de là-bas Des djellabas Leurs reflets de terre et d'épices Des oasis Toute cette beauté dans mes dessins Et mes dentelles Je la saisie dans le jardin Majorelle Dans le jardin Majorelle C'est un pays qui s'habille de parfums De safran, de cannelle et de bougainvilliers C'est un pays qui s'habille de parfums L'œuvre à n'en pas douter d'un immense couturier ©2009- Paroles:Pierre-Dominique Burgaud - Musique: Alain Chamfort Texte soumis aux Droits d'Auteur - Réservé à un usage privé ♦ Le marketing la poésie Le marketing la poésie Quand ils s'installent sous le même toit Peu importe qui trompe qui C'est la poésie qui s'en va Peu importe qui trompe qui C'est la poésie qui s'en va Le marketing la poésie Quand ils s'unissent pour l'argent Peu importe qui trompe qui C'est la poésie qui fout le camp Peu importe qui trompe qui C'est la poésie qui fout le camp Le marketing la poésie Quand ils s'installent sous le même toit Peu importe qui trompe qui C'est la poésie qui s'en va Peu importe qui trompe qui C'est la poésie qui s'en va